Il existe à Saigon un endroit qui devrait pris le temps par les voyageurs pour la visite. C’est l’endroit où on conserve la beauté de femmes vietnamiennes: Musée des robes traditionnelles vietnamiennes.
Situé au District 9 à HCMV, à 30 minutes par voiture du centre de la ville, le musée des Aodai constitue vraiment une destination idéale pour les voyageurs domestiques et internationaux. Venant au musée, vous avez la chance de voir des centaines des robes et des objets, et de découvrir un espace vert de la vie rustique.
Formé à partir d’idées et d’enthousiasme du Créateur Si Hoang, sous la permission la création de musées privés de l’Etat, il faisait 12 ans pour donner des idées, construire, achever et mettre en service. Il est inutile de parler trop du dévouement et de l’effort pour créer cet espace culturel parce que les visiteurs peuvent s’en sentir quand ils viennent d’ici.
L’espace vert mesure 20.000 mètres carrés de largeur comprenant des lacs, des étangs, des pavillons accompagnés des jardins, des espaces d’exposition, des lieux d’expérience et un grand théâtre. Les œuvres, des petites aux grandes, sont construites d’une manière subtile et sont prises en charge de façon méticuleuse. La plupart des travaux principaux dans le campus du musée comme la porte, la maison d’exposition, et l’espace d’expérience ont été élaborés en bois à Quang Nam, par les mains des artistes de menuiserie de Kim Bong.
Dès l’entrée, vous pourriez vous trouver un espace vietnamien caractérisé par des piliers en bois et un toit de tuiles rouges. Passant par la porte, vous verrez une zone de billet d’entrée. Le prix est de 100.000 dong par adulte, 30.000 par étudiant. Il est gratuit pour les personnes âgées et les enfants. Après l’achat de billets, les visiteurs seront guidés et emmenés de tout cœur par le personnel du musée au cours de la visite, et puis présentés au sujet de significations des objets dans le musée.
Quiconque a déjà venu d’ici s’impressionne par le prolongement de l’espace vert et la planification architecturale extrêmement délicate. Les pelouses luxuriantes et veloutés étirent en douceur sous les pieds des voyageurs. Les lacs et les étangs artificiels avec des lotus et des nénuphars rendent l’espace plus vivant. Les allées sont également conçues de façon magnifique avec des rangées de graviers ou des clôtures de fleurs de papier.
Dans le musée, il dispose de bancs sur les pelouses et des pavillons flottants afin que les visiteurs puissent se reposer et détendre en buvant du thé. Si l’espace extérieur apporte le plaisir et la détente aux voyageurs, l’espace intérieur vraiment calme leur permet de comprendre mieux la robe de Aodai – un vêtement associée à la beauté des femmes Vietnam. Vous découvrirez tour à tour le développement des Aodai au fil du temps au début du regard de les robes de Tu Than, les robes avec 4 pièces restaurées à partir de 1645.
Les Aodai avec 4 pièces ont étés formés parce qu’à cette époque là, la laize de tissue était très étroite, seulement 30-40 cm. Alors, on devait joindre deux morceaux de tissu ensemble pour faire une pièce devant ou derrière. Jusque vers les années 1880, la robe avec 5 pièces (robe de Ngu Than) apparait. Cette robe se composait 2 laizes cousues pour former le pan devant discret, avec un pan supplémentaire au dessous du pan devant à côté droit. Le pan derrière est créé par 2 laizes cousues. Les 4 pans à l’extérieur représentent les parents et beaux-parents, le reste montre constitue le symbole de la personne qui porte la robe.
Au 19e siècle, c’était la période des robes de la dynastie de Nguyen. Les Aodai à cette époque-là étaient brodés ou cousus par textiles avec les figures de paon, de phœnix, et de fruits… selon le statut social, on utilisait les broderies correspondantes.
La robe à la mode de Lemur a commencé à former à la fin du 19ème siècle, et au début du 20e siècle. Maintenant, il existe une robe à la mode fait depuis 1942 dans le musée. De plus, on réserve une robe avec le col en forme de la barque. Beaucoup de gens étaient inattendus et s’opposaient à cette conception : On pensait que les femmes à cette époque-là étaient encore très timides et toujours dans les vêtements discrets. Cependant, la robe innovée était de plus en plus préférée car elle correspondait au temps chaud dans le sud, en outré, elle donnait aussi une sensation de fraîcheur, et de jeunesse pour les femmes.
La robe avec des manches raglan portée actuellement a lancée en 1958 par M. Do Thanh à Quang Ngai. L’idée de coudre les manches raglan a été formée quand il a effectué deux programmes de mode en 1958 au théâtre de Grand Monde. Sa créativité a contribué de manière significative à relever la beauté douce et féminine des robes traditionnelles vietnamiennes.
Non seulement le développement de Aodai est introduit au cours des quatre derniers siècles, mais aussi de nombreuses modèles très en vogue dans une période longue et les robes des ethnies telles que la robe Hippy, la robe dessinée la robe en brocart et la robe d’intégration internationale sont exposées au Musée. Outre l’espace pour l’introduction de l’histoire et du développement de Aodai, le musée ouvre l’espace d’exposition des robes des célébrités, l’espace d’exposition des robes thématique.
Quelques photos exposées au musée.
Venant au Musée, en plus de visiter les expositions, vous entendez aussi des histoires vivantes au sujet de costume traditionnel vietnamien. Le Musée de Aodai est digne d’un lieu à ne pas manquer, où la beauté des femmes vietnamiennes est gardée de génération en génération.